Mercredi 28 Juin 2023 – Le paquebot Renaissance est baptisé au Havre lors d’une cérémonie familiale et intimiste qui s’est tenue au théâtre La Belle Époque.
Les discours des armateurs, Cédric Rivoire-Perrochat et Clément Mousset ont rappelé combien l’aventure humaine que représente la création de CFC Croisières et le lancement de Renaissance étaient un projet entrepreneurial de taille.
Clément Mousset, armateur – Anne Parillaud marraine de Renaissance, Cédric Rivoire-Perrochat, armateuret Stella Carpenter maîtresse de cérémonie
Jean-Baptiste Gastinne, premier adjoint au Maire du Havre n’a pas manqué de rappeler le parallèle entre le nom du paquebot et l’histoire de la ville qui est née à l’époque de la Renaissance sous François 1er et qui a également vécu une véritable renaissance après guerre. Il a également salué le challenge relevé par les armateurs français rappelant l’importance de la croisière pour le développement économique et touristique de la métropole.
La cérémonie a également été l’occasion pour la compagnie de présenter le commandant de Renaissance pour cet événement : Guy Sabatier. Ce français a été formé à l’ENSM du Havre. Il a une grande expérience des navires à passagers et a commandé pendant de nombreuses années des paquebots et des ferries.
La célèbre actrice Anne Parillaud, marraine de Renaissance, a fait un magnifique parallèle entre l’émotion dont se servent les acteurs pour donner toute la puissance à leur rôle et l’investissement personnel des armateurs. Aller chercher au plus profond de soi et tout donner, c’est aussi effectivement ce qu’ont fait les co-fondateurs Cédric Rivoire-Perrochat et Clément Mousset dans ce projet de croisières à la Française.
Bien connue des français, Anne Parillaud apparaît pour la première fois au cinéma dans L’Hôtel de la Plage de Michel Lang puis au théâtre, à télévision et au cinéma avec deux films de, et avec, Alain Delon : Pour la peau d’un flic et Le Battant. Sa consécration viendra avec Nikita de Luc Besson. Un rôle culte qui lui vaut le César de la Meilleure Actrice, ainsi que le David Di Donatello de la Meilleure Actrice (César Italien) et une reconnaissance internationale. Depuis elle n’a cessé d’enchaîner les rôles confirmant ainsi son profond désir d’incarner des personnages forts tout en valorisant son goût des défis.
Après le temps des discours vient le temps du baptême, célébré par deux aumôniers havrais de la mission de la mer : Guy Pasquier et Célestin Ikomba. Après les discours, c’est avec ferveur et enthousiasme que le père Ikomba a utilisé un bout trempé dans l’eau bénite pour baptiser le navire, ses équipages et ses passagers afin de les placer sous la protection de Dieu. Les aumôniers ont également remis une icône avec la vierge à l’enfant qui sera placée en passerelle pour protéger le navire.
Anne Parillaud a ensuite coupé le ruban tricolore libérant la traditionnelle bouteille de champagne qui s’est brisée comme il se doit sur la coque de Renaissance.
Le dîner de gala s’est déroulé au Grand restaurant Vatel. À la carte du Chef Anthony Mauboussin : Carpaccio de saumon – Filet de bœuf Rossini ou Bar du Chili rôti au four – Sélection de fromages A.O.C. – Dôme de chocolat banane.
Chef Anthony Mauboussin
La soirée s’est poursuivit au Théâtre La Belle Epoque avec le spectacle Légendes musicales interprété avec talent par les chanteurs et danseurs du navire.
CFC Croisières, une aventure humaine et un challenge à la française
Passionnés de paquebots et de voyages empreint de découvertes, c’est un pari fou que ce sont lancés Clément Mousset et Cédric Rivoire-Perrochat. Leur rêve était de créer une compagnie de croisières française, offrant des expériences uniques et des croisières francophones au long cours conviviales. Une aventure humaine audacieuse pleine d’incertitudes et de défis, mais déterminés, ils ont fait aujourd’hui de ce rêve une réalité.
C’est avec une équipe talentueuse, partageant la même passion et la même vision, qu’ensemble, ils ont travaillé sans relâche pour élaborer des itinéraires uniques, sélectionnant des escales idylliques et créant des expériences exceptionnelles à bord. Chaque détail a été soigneusement pensé pour offrir aux passagers des moments inoubliables.
Les officiers du paquebot Renaissance et les équipes de CFC Croisières
Renaissance apporte aujourd’hui sur le marché français et francophone ce que beaucoup de voyageurs attendaient depuis longtemps : une atmosphère chaleureuse et accueillante et un navire qui propose une expérience unique sur un véritable « petit chez-soi en mer ».
Renaissance battra pavillon Français dès septembre
Renaissance va basculer sous pavillon français dès son arrivée à Marseille le 14 septembre 2023. Un baptême sera également organisé dans le port phocéen pour fêter cet événement qui marque l’immatriculation officielle du paquebot à Marseille. Pour l’occasion, la bouteille de champagne sera remplacée par une célèbre boisson anisée bien connue de la région.
Une expansion mesurée de la flotte de CFC Croisières
Renaissance sera suivi de deux autres navires dont l’arrivée est envisagée pour 2026 et 2028. Une immatriculation de l’un d’eux au Havre fait également partie des projets de l’armateur. Souhaitant disposer de paquebots de 1200 à 1400 passagers maximum, le développement par la construction de navires neufs est également à l’étude.
Cette fois le lancement de Compagnie Française de Croisières (CFC) est officiel et le retour des croisières 100% francophones est bien confirmé. Il se fera à bord du paquebot Renaissance.
Acteurs bien connus du monde de la croisière depuis plus de 25 ans, Clément Mousset et Cédric Rivoire-Perrochat, sont les co-fondateurs de la Compagnie Française de Croisières (CFC), une toute nouvelle start-up qui relance aujourd’hui les croisières à la française pour la clientèle Premium. Les deux protagonistes veulent remettre au goût du jour la tradition des voyages au long cours.
Leur paquebot, Renaissance (629 cabines, 1100 passagers, 560 membres d’équipage), coque bleu sombre, cheminée tricolore et ligne fluide rappelant celle des transatlantiques d’antan, naviguera sous pavillon français. Le paquebot sera enregistré à Marseille, une première depuis 38 ans (époque à laquelle le Mermoz a été dépavillonné au profit des Bahamas). Ses voyages, d’une durée en majorité supérieure à 12 jours, entièrement francophones, partiront et reviendront exclusivement de deux ports français : Le Havre et Marseille. L’idéal pour voyager depuis la France sans avoir à prendre l’avion.
CFC – Une nouvelle compagnie très à l’écoute des attentes des passagers français
On l’aura compris : Renaissance représente d’abord un nouvel esprit du voyage en mer, inspiré par une longue expérience partagée par deux grands professionnels du monde de la croisière, mués par le désir de combler un manque sur un marché français en plein développement. Proximité, originalité, modernité : CFC fait souffler un vent nouveau sur le monde de la croisière, celui de l’optimisme et de la mer enfin retrouvée.
Compagnie Française de Croisières entend revenir aux fondamentaux du voyage en mer, loin de la démesure de la croisière-resort, et plus à l’écoute de ses passagers.
Des passagers à la recherche de paquebots plus petits et de croisières plus longues
Clément Mousset et Cédric Rivoire-Perrochat qui peaufinent leur projet depuis 4 ans, se disent « extrêmement conscients de la nécessité d’ouvrir un segment qui n’était pas occupé dans le paysage touristique français de la croisière ». Un segment Premium inédit sur le marché français. Dans les nombreuses études lancées pour la préparation de leur projet, les deux entrepreneurs ont demandé quelle serait la taille idéale d’un navire de croisière : 65% des personnes sondées ont répondu qu’il ne devait pas excéder 2000 passagers. Quelle serait la durée moyenne idéale d’une croisière ? Toujours plus de 8 jours…
« Nos clients nous demandent des navires plus petits. Nos clients demandent à être écoutés. Nos clients demandent des itinéraires un peu nouveaux. Imaginez-vous, les compagnies de croisières au départ de Marseille proposent les mêmes itinéraires depuis 1996 ! Nous, depuis Marseille, nous proposons dix itinéraires tous différents« , précise CFC. Renaissance (1100 passagers), renoue par sa taille médiane, avec celle des paquebots de légende qui ont accompagné l’essor des voyages en mer au siècle passé. La majorité des croisières à bord seront supérieures à 12 nuits. Il y aura bien quelques mini-croisières de deux ou trois nuits, mais dans l’ensemble, les croisières seront plus longues.
Pour CFC, « Le format classique 8 jours/7nuits oblige les mêmes navires à fréquenter les mêmes ports sur les mêmes circuits. Renaissance est là aujourd’hui pour que le passager hors luxe ait la chance de découvrir une petite structure. À l’heure où les principaux acteurs du mass market ne construisent plus aujourd’hui que des structures de plus de 5000 passagers, Renaissance à l’international est d’ores et déjà accueilli comme un « small ship* (petit navire ») ».
Interview vidéo : Clément Mousset et Cédric Rivoire-Perrochat nous en disent plus sur CFC et le paquebot Renaissance
Vidéo réalisée le 6 septembre 2022
En savoir plus sur le paquebot Renaissance
Compagnie Française de Croisières (CFC) a acquis auprès d’Holland America Line le paquebot Maasdam, rebaptisé Renaissance. Entièrement rénové en 2018, ce navire de 219 m de long construit en 1993 aux Chantiers Fincantieri en Italie, a su garder un côté intemporel et chaleureux, tout en étant résolument contemporain. Il va encore faire l’objet de nouveaux aménagements avant les ultimes exercices de sécurité et essais à la mer. 10 millions d’Euros de travaux sont prévus avant le lancement du Renaissance.
Un nom évocateur et une cheminée tricolore pour Renaissance
La compagnie nous en dit plus sur le choix du nom de son premier paquebot. Renaissance a été choisi pour 3 raisons : la renaissance d’une aventure entrepreneuriale après l’arrêt brutal de la pandémie. C’était le nom du dernier paquebot français neuf sorti des chantiers de Saint-Nazaire en 1966, immatriculé au port de Marseille. Et c’est aussi un clin d’œil à ce navire bien connu des croisières Paquet aujourd’hui disparu, un hommage à l’histoire des croisières au long cours.
La cheminée est bleu, blanc, rouge pour rappeler le drapeau français ; elle reprend aussi la même inclinaison que celle du France devenu Norway.
Des croisières « à la française » avec de nombreux clins d’œil
La pétanque sera à l’honneur sur la Place des Lices au pont 12. Un clin d’œil à la place du même nom de Saint-Tropez. Bien sûr les joueurs et spectateurs pourront se délecter d’un petit pastis et s’amuser avec passion sur ce premier boulodrome en mer. Pour la touche marseillaise, on se baignera dans la Piscine duPrado située à l’arrière du navire et on pourra faire son shopping sur La Traboule. Le Havre sera aussi à l’honneur avec la Promenade François 1er.
La piscine Moana
Avec son toit rétractable, on pourra si baigner quelle que soit la météo.
Le Spa – Les Evens
Le choix du nom Les Evens est évocateur de la région de Saint-Nazaire, d’où est originaire Clément Mousset, l’un des deux co-fondateurs de la compagnie.
154 cabines avec balcon ou terrasse
Sur 629 cabines, 154 possèdent un balcon privé ou une terrasse et 80 % d’entre elles sont extérieures : un ratio très important, le reste étant des cabines intérieures. Dans les plus grandes suites, les passagers disposeront de jumelles et d’atlas pour mieux se plonger dans l’esprit du voyage.
De la musique live et des spectacles de talents locaux
Dans les différents salons, la musique sera jouée avec de véritables instruments. Il y en aura pour tous les goûts : musique classique, piano bar et il y aura même un groupe qui interprètera les morceaux à la demande. La danse de salon ne sera pas oubliée pour les amateurs. Au théâtre, des artistes locaux de Marseille et du Havre pourront se produire.
Des cours de cuisine en mer
L’auditorium dispose d’aménagements spéciaux pour proposer des animations de cours de cuisine.
Une capacité réduite pour accueillir les voyageurs en solo
Le navire possédait à l’origine une capacité de 1258 passagers, qui a volontairement été réduite à 1100 passagers. Notamment parce que les voyageurs Solo seront les bienvenus à bord de Renaissance.
La vie à bord de Renaissance
Gastronomie à la française
À bord de Renaissance, navire 100 % francophone, la gastronomie à la française et les produits de qualité seront à l’honneur : le coût moyen du budget restauration par passager y sera quatre fois plus élevé que dans certaines autres compagnies. Les menus, préparés par un ancien chef étoilé, seront supervisés par un executive-chef maritime.
Les restaurants principaux proposeront deux services pour le dîner : 19h et 21h.
Conformément aux souhaits de la clientèle, deux restaurants alternatifs complèteront l’offre : l’un dédié à la viande et aux grillades, l’autre « asian fusion » plus exotique. Clin d’œil à un glorieux passé, on pourra aussi réserver La Table du Chef, où seront proposés – et réinterprétés – des menus jadis servis à bord de l’ancien Renaissance, du France ou du Normandie.
Des traditions retrouvées
Le thé sera proposé tous les après-midis à partir de 16h avec sa cohorte de petits sandwiches et de gâteaux, sans oublier le bouillon de 11h servi dans la grande tradition sur les ponts, lors de journées de mer dans les pays du nord, en passant par le retour d’un buffet de minuit exceptionnel lors des croisières de longues durées.
L’histoire et la culture à l’honneur durant le voyage
Sur ce navire ni trop grand, ni trop petit, pas de tyrolienne ou de patin à glaces, mais un choix pointu de conférenciers qui évoqueront au théâtre (600 places, à l’avant du navire sur deux niveaux) les pays et sites visités sans omettre l’histoire, la culture ou les aspects plus contemporains.
Des croisières sans enfants sur la plupart des itinéraires
Du fait de la longueur de ses itinéraires Renaissance sera un navire « sans enfants ». Néanmoins, sur les 31 départs de la programmation 2023 – 2024, 7 croisières seront ouvertes aux familles, avec tout le personnel dédié et des clubs enfants à bord.
Les croisières à bord de Renaissance
Sites naturels exceptionnels, spectacle sans cesse renouvelé de terres méconnues, rencontres et découvertes culturelles inattendues : grâce à sa conception du voyage, Renaissance invite ses passagers à un véritable retour aux sources, à découvrir ou à redécouvrir des destinations emblématiques : la durée moyenne des escales y est de 13h (contre 5 à 7 heures pour ses concurrents). Toutes les excursions seront optionnelles, avec la possibilité de pré-réserver afin de bénéficier de tarifs préférentiels.
CFC proposera des croisières 100% francophone toute l’année depuis Le Havre et Marseille
Renaissance est entièrement dédié aux marchés Français et Francophone. Les postes clés à bord du navire parleront donc français : Commandant, Directeur d’Hôtellerie, Commissaire de Bord, Directeur de Croisière, équipe d’animation, Hôtes & Hôtesses de Réception Bureau des excursions, Serveurs Bars & Restaurants, Cabiniers, Concierge et Maître d’hôtel pour les suites, Personnel du Spa et des Boutiques…
Croisière terres d’histoire : escales inédites en Algérie & Tunisie
Cette croisière inédite depuis Marseille à destination des plus beaux rivages de l’Afrique du Nord débutera par une escale prolongée dans la magnifique cité fortifiée de La Valette, sur l’île de Malte. Elle permettra de découvrir le site archéologique de Thyna, à proximité de Sfax, Monastir depuis Sousse puis se poursuivra dans la capitale, Tunis, ou à Sidi Bou Saïd et sur le site archéologique de Carthage, accessibles depuis La Goulette. Depuis Skikda, les passagers pourront se rendre à la médina de Constantine, bâtie en bordure des vertigineuses gorges de Rummel. Alger est connue pour sa Casbah, médina aux ruelles sinueuses et aux bâtiments blanchis à la chaux. Profiter de la vue imprenable sur la baie d’Oran depuis la citadelle ottomane de Santa Cruz est également au programme. La dernière escale sur le continent africain aura lieu à Melilla, ville autonome espagnole puis le navire mettra le cap sur Mahon sur la magnifique île de Minorque avant de retourner à Marseille.
Quel seront les prix des croisières CFC ?
Quelques chiffres représentatifs : le prix moyen à bord de Renaissance est de 240€/jour/personne. Certaines croisières de 7 nuits commencent à moins de 800 €. Une croisière de 15 nuits peut faire moins de 1500 €.
Ces tarifs indicatifs varient selon la saison et le type de cabine. Une cinquantaine de cabines – dans toutes les catégories : intérieur, extérieur, balcon – sont proposées aux passagers single sans supplément.
À noter : aucun frais supplémentaires – souvent pudiquement appelés frais de séjour ou frais de service – ne sera ajouté à la note de bord en fin de croisière (cela peut représenter 10 à 15 € par jour dans certaines compagnies) : chaque passager aura la liberté de donner le pourboire qu’il désire – au moyen d’une enveloppe – aux membres d’équipage.
Si les prix restent affichés sur une base double, les singles en effet ne paieront pas de supplément sur certaines catégories.
Le développement durable, un enjeu essentiel pour CFC
Compagnie Française de Croisières inscrit l’environnement, la sûreté et la sécurité au cœur de ses priorités. En jetant son dévolu précisément sur l’ancien Maasdam, rebaptisé Renaissance, outre le fait qu’il avait été entièrement rénové en 2018, qu’il est doté de stabilisateurs, de propulseurs d’étrave, de propulseurs de poupe… CFC a aussi choisi un navire conçu à l’origine pour naviguer en Alaska pendant l’été (notamment dans la Baie des Glaciers). Or l’Alaska est l’un des endroits au monde les plus stricts en termes de gestion de la pollution et d’émissions diverses. Le navire est donc déjà été équipé de scrubbers (système de lavage des gaz d’échappement). « Mais nous allons le perfectionner en mettant en place un circuit fermé. Les résidus d’échappement seront débarqués dans les ports qui pourront les retraiter. Et nous n’utiliserons bien sûr que du fioul désulfuré, désoufré dans nos opérations quotidiennes, y compris en haute mer », précise CFC.
Les tuyères d’échappement sont équipées de filtres catalytiques qui réduisent les émissions d’oxydes d’ammoniac et d’azote de 99%. Les eaux grises seront traitées au xenon, les eaux de ballast par ultraviolet. Par ailleurs Renaissance est déjà équipé pour un branchement électrique à quai (déjà imposé à Juneau, Seattle ou Vancouver) et obligatoire dans quelques années à Toulon, Marseille et Le Havre.
Engagée en faveur d’un tourisme durable, CFC a pour souci constant la réduction de ses émissions atmosphériques mais aussi de sa consommation de carburant, privilégiant un concept de navigation douce : les itinéraires ont ainsi été créés pour être réalisés à une vitesse moyenne inférieure à 14 nœuds (quand la vitesse théorique de Renaissance est de 22 nœuds).
Le protocole ESG (Environnement, social, gouvernance) est en cours de finalisation. Au programme entre autre, la gestion des denrées alimentaires (pour éviter de trop jeter) ; l’abolition des plastiques à usage unique au profit de gourdes durables que l’on pourra remplir d’eau purifiée à bord ; l’installation de distributeurs fixes dans les salles de douches remplis de produits organiques respectueux de l’environnement (déjà en usage dans le secteur du luxe) ; des éclairages led ; le renouvellement d’air permanent des cabines…
La compagnie s’engage à publier dès 2024 un rapport indépendant sur ses engagements ESG.
En savoir plus sur les co-fondateurs de CFC
Avec une expérience de plus de 25 ans dans le monde de la croisière et auprès des plus grandes compagnies, les deux co-fondateurs s’y connaissent dans le domaine de la croisière. Mais pour eux, la croisière c’est aussi une passion et chacun ont une histoire personnelle qui en dit long.
Dès leur enfance, Clément Mousset et Cédric Rivoire-Perrochat rêvent au sillage des grands paquebots, du temps où ceux-ci étaient d’abord un moyen de transport et portaient tant d’espoir sous des constellations nouvelles.
Clément Mousset naît à Saint-Nazaire et grandit à La Baule. Issu d’une famille d’industriels qui fournissaient les chantiers de Saint- Nazaire, il écoute ses arrière-grands-parents parler de leurs voyages sur Le France, débusque des archives familiales inestimables et photographie sous toutes leurs coutures les grandes cathédrales d’acier dans la cale sèche des Chantiers de sa ville natale.
Pendant ce temps-là, Cédric Rivoire-Perrochat, originaire de Grenoble, passe tous ses étés à la mer et ressent lui aussi très tôt l’appel du large en voyant les premiers paquebots faire escale dans le sud de la France. Parce que « rien n’est plus beau que de découvrir un pays par la mer », l’un et l’autre feront toute leur carrière dans les plus grandes compagnies de croisières avant de se rencontrer sur un salon professionnel, de faire équipe à la tête de Croisières Maritimes & Voyages (CMV France), puis de fonder leur start-up Compagnie Française de Croisières dont le siège est basé à Marseille.
Informations et réservations auprès de la compagnie au 04 84 89 02 90 cfc-croisieres.fr ou en agences de voyages
ARTICLE RÉALISÉ PAR CORINNE ANCION Article mis à jour le 29 décembre 2022